- 1ère mise en circulation : 20 juillet 2001
- Kilométrage : 62000 km
- Couleur extérieure : grise claire
- Couleur intérieur : cuir & alcantara bleu
- N° chassis : ZAMAA38A000003362
- Révision et entretien chez RossoCorsa (Milano)
- 3ème propriétaire
- Toujours dans un box fermé
DESCRIPTION
- Moteur : V8 à 90°
- Position : longitudinal avant
- Alimentation : Injection + 2 turbos
+ 2 intercoolers - Cylindrée : 3217 cc
- Puissance : 370 ch à 6250 tr/min
- Couple : 490 Nm à 4500 tr/min
- Transmission : AR BV6 mécanique
- Poids : 1590 kg
- Vitesse maxi : 280 km/h
- 0 à 100 km/h : 5''4
CARACTERISTIQUES TECHNIQUES
- Sièges, vitres et rétroviseurs électriques, Climatisation, Jantes en alliage 17',
Verrouillage centralisé à distance,
Sellerie cuir, ABS, airbags, Radio CD Becker Mexico,
Historique : carnet d'entretien et factures
EQUIPEMENTS PRESENTS
CE QUE J'EN PENSE
« Après avoir profité du 6 cylindres à plat de mes 964 et 993, je voulais tenter une nouvelle expérience,
découvrir un nouveau moteur, un nouveau comportement, écouter une nouvelle mélodie.
Et bien je n'ai pas été déçu !!
Pour sa robe, j'ai opté pour un coloris clair qui ne laisse que très peu apparaître les micro-rayures laissées par le temps ou les traces d'eau qui auraient séchées trop vite. Pour l'intérieur, j'étais moins exigeant (sauf pour la qualité des cuirs et des sièges !).
Lorsque j'ai fait le tour de la voiture, j'ai été impressionné par son état de conservation et sa ligne (surtout l'arrière et ses feux à LED en boomerang ! Merci Giugiaro !). Le fait que l'on ne voit pratiquement jamais de Maserati sur nos routes (beaucoup moins que des "Porsche" en tous cas) a beaucoup participé à ma réflexion.
Mais c'est surtout le fait qu'elle aie couché exclusivement dans un box fermé et qu'elle aie été entretenue chez RossoCorsa (concessionnaire officiel Ferrari et Maserati) qui m'a définitivement convaincu du sérieux du propriétaire.
A l'intérieur, j'ai découvert une présentation luxueuse et raffinée : le cuir recouvre pratiquement toutes les surfaces mis à part le plafond en Alcantara ! Les cuirs sont vraiment en excellent état. On retrouve l'horloge à pendule sur le tableau de bord apparue sur les bi-turbo 222.
Pour sa robe, j'ai opté pour un coloris clair qui ne laisse que très peu apparaître les micro-rayures laissées par le temps ou les traces d'eau qui auraient séchées trop vite. Pour l'intérieur, j'étais moins exigeant (sauf pour la qualité des cuirs et des sièges !).
Lorsque j'ai fait le tour de la voiture, j'ai été impressionné par son état de conservation et sa ligne (surtout l'arrière et ses feux à LED en boomerang ! Merci Giugiaro !). Le fait que l'on ne voit pratiquement jamais de Maserati sur nos routes (beaucoup moins que des "Porsche" en tous cas) a beaucoup participé à ma réflexion.
Mais c'est surtout le fait qu'elle aie couché exclusivement dans un box fermé et qu'elle aie été entretenue chez RossoCorsa (concessionnaire officiel Ferrari et Maserati) qui m'a définitivement convaincu du sérieux du propriétaire.
A l'intérieur, j'ai découvert une présentation luxueuse et raffinée : le cuir recouvre pratiquement toutes les surfaces mis à part le plafond en Alcantara ! Les cuirs sont vraiment en excellent état. On retrouve l'horloge à pendule sur le tableau de bord apparue sur les bi-turbo 222.
L'habitabilité est remarquable pour un coupé et les places arrières ne sont, pour une fois, pas anecdotiques.
L'autoradio Becker d'origine ajoute pleinement au charme de la voiture.
Une fois le contact mis... que dire... un pur moment de bonheur ! Une sonorité époustouflante. Le V8 bi-turbo est tout simplement de la musique pour les oreilles.
Attention cependant, avant de se promener avec la belle italienne : bien faire chauffer le moteur avant l'escapade et, surtout, bien le laisser refroidir après ! Si vous respectez ces «détails», la fiabilité sera au rendez-vous ! Une fois le moteur chaud, les montées en régime sont époustouflantes !
Le couple phénoménal étant disponible tout le temps, la voiture vous propulse à chaque rapport engagé. L'antipatinage de série n'est pas un luxe pour canaliser la fougue du V8 Maserati (et non pas Ferrari). En utilisation normale, la consommation moyenne de la Maserati reste très acceptable pour une voiture de 370CV. A l'inverse de mes anciens Flat-6, on ressent encore plus le côté exclusif de la voiture qui ne veut pas rester derrière un bus dans les bouchons. Côté budget, il reste raisonnable à partir du moment où elle est bien entretenue : temps de chauffage et refroidissement, vérifier très régulièrement le niveau d'huile (Motul 300V),... »
Une fois le contact mis... que dire... un pur moment de bonheur ! Une sonorité époustouflante. Le V8 bi-turbo est tout simplement de la musique pour les oreilles.
Attention cependant, avant de se promener avec la belle italienne : bien faire chauffer le moteur avant l'escapade et, surtout, bien le laisser refroidir après ! Si vous respectez ces «détails», la fiabilité sera au rendez-vous ! Une fois le moteur chaud, les montées en régime sont époustouflantes !
Le couple phénoménal étant disponible tout le temps, la voiture vous propulse à chaque rapport engagé. L'antipatinage de série n'est pas un luxe pour canaliser la fougue du V8 Maserati (et non pas Ferrari). En utilisation normale, la consommation moyenne de la Maserati reste très acceptable pour une voiture de 370CV. A l'inverse de mes anciens Flat-6, on ressent encore plus le côté exclusif de la voiture qui ne veut pas rester derrière un bus dans les bouchons. Côté budget, il reste raisonnable à partir du moment où elle est bien entretenue : temps de chauffage et refroidissement, vérifier très régulièrement le niveau d'huile (Motul 300V),... »